Quatre mois après un premier rapport du comité des droits de l’enfant humiliant pour Paris, un autre comité de l’ONU, celui des droits économiques, sociaux et culturels, adresse une nouvelle mise en garde à la France sur le dossier de l’accès à l’eau dans les outre-mer, et plus particulièrement en Guadeloupe. L’inquiétude des experts internationaux tranche avec le comportement des représentants de l’État, qui demeurent sourds aux revendications des associations citoyennes. Sans parler des réflexions teintées de colonialisme du nouveau ministre délégué à l’outre-mer, Philippe Vigier.
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Morgane Sabouret