En novembre dernier, la 17ème chambre correctionnelle du tribunal judiciaire de Paris se penchait sur une affaire qui avait perturbé le lancement de Blast en 2021. Du jour au lendemain, Maxime Renahy avait quitté ceux avec qui il travaillait depuis des mois alors que notre média était sur le point de se lancer. Pour se justifier, il affirmait qu’un milliardaire nous finançait. Face à ces affabulations, Blast a porté plainte. Trois ans plus tard, l’autoproclamé lanceur d’alerte est renvoyé à ses errances : le tribunal l’a sèchement condamné, constatant que ces « révélations » ne reposaient sur rien. Le prétendu « scandale Blast » n’en était pas un, il s’est transformé en affaire Renahy. Celle d’un menteur qui n’a cessé de trahir tout au long de sa vie.
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Diane Lataste