Trois semaines après les élections, les témoignages qui attestent d'une libération de la parole, et parfois des actes, racistes, se multiplient. Du racisme ordinaire, entre voisins, dans les endroits les plus reculés et les plus paisibles. De ceux dont les médias ne parlent pas. Dans la campagne bretonne, un groupe, se réclamant du FLB (Front de libération de la Bretagne), a revendiqué les dégradations commises chez un migrant soudanais devenu agriculteur.
Crédits photo/illustration en haut de page :
Diane Lataste