Depuis l'arrivée au pouvoir de Kaïs Saïed, en Tunisie, rhétorique anti-migrants et violences à l’encontre des personnes exilées et des associations leur venant en aide se sont généralisées. Mais face à cette dérive autoritaire, l'Union européenne et la France ne semblent pas prêtes à restreindre leurs partenariats stratégiques : l'externalisation des politiques migratoires reste bel et bien à l'agenda.
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Diane Lataste