Ils sont nos yeux et nos oreilles à Gaza : chaque jour, les journalistes palestiniens se mettent en danger pour informer le monde. Rester et risquer d'être tué, ou être évacué et cesser de documenter. Ce conflit représente la période la plus meurtrière pour des journalistes depuis que le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) a commencé à recueillir des statistiques en 1992. Pourtant, les organisations et médias internationaux semblent frileux à l'idée de qualifier ces morts pour ce qu'ils sont : des crimes de guerre.
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Diane Lataste