Grâce à la mobilisation qu’ils ont suscité sur le thème de la vie chère, les leaders du RPPRAC ont su capter l’intérêt des médias nationaux et imposer le débat sur les structures économiques aux Antilles. Mais à son habitude, l’Etat fait la sourde oreille et n’a pour seule réponse que la répression policière. Une impasse dont la seule issue est politique. Un sujet que le RPPRAC a refusé d’aborder dans sa tournée médiatique parisienne, y compris à Blast. Sur leurs réseaux sociaux, ses leaders ne cachent pas leurs visées indépendantistes.
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Morgane Sabouret