Le film de Coralie Fargeat, dans ses outrances parfaitement assumées, s’avère aussi stimulant qu’irritant. Irritant parce que long, répétitif et abusant d’artifices pour créer le choc et le bizarre. Stimulant parce que l’utilisation du genre horrifique pour soutenir un discours féministe radical s’avère particulièrement inattendu, drôle et jouissif.
Crédits photo/illustration en haut de page :
Margaux Simon