Ce samedi, les catholiques enterrent le pape à Rome. Pour l’Église, qui doit lui trouver un successeur, la mort de Jorge Bergoglio le 21 avril est un tournant. La radicalité des discours de François, qui prônait l'abolition des frontières et des prisons, n’a guère ménagé le néolibéralisme. Tout au long de son règne, ce pontife atypique est resté tourné vers les plus fragiles et les marginaux. Désormais, entre traditionalistes et progressistes, la partie au sein du conclave est féroce.
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