Soupçonné d’avoir passé un pacte de corruption avec le régime de Kadhafi, l’ancien président persiste à vouloir décrédibiliser une note publiée en 2012 par Mediapart. Quitte à user de procédés qui l’enfoncent, en tronquant des documents des services secrets ou en appelant un mercenaire comme témoin de moralité. Une défense de rupture proche des méthodes du grand banditisme.
Crédits photo/illustration en haut de page :
Margaux Simon