Déclenchée il y a presque dix ans, l’affaire du Kazakhgate a connu des développements judiciaires des deux côtés de la frontière. Après le décès de son personnage central, le volet belge est refermé. A Paris, le dossier est toujours à l’instruction. Un règlement pourrait intervenir d’ici la fin de l’année. Les ramifications de ce réseau d'influence remontent jusqu’à Nicolas Sarkozy alors président de la République et Didier Reynders, commissaire européen à la Justice et vedette d’un livre (1) qui vient de sortir en Belgique et relance l’affaire.
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