Dans ce second volet de notre odyssée au cœur du sabordage du géant français de l’informatique, on croise la route des inévitables cabinets de conseil. Pendant qu’ils imaginent des plans de relance aussi inventifs qu’onéreux, comme s’il en pleuvait, les salariés d’Atos sont déboussolés. Et l’État est tout à sa passivité, qui confine à la langueur. État des lieux en trois points de rupture, alors que la mission d’information du Sénat - qui a auditionné les dirigeants actuels la semaine dernière - poursuit ses travaux.
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Diane Lataste