Six mois après le déclenchement de l’offensive israélienne contre Gaza qui a déjà fait plus de 33 000 morts (dont plusieurs milliers d’enfants) et 75 000 blessés, et alors que plusieurs pays ont d’ores et déjà suspendu leurs ventes de matériels militaires à Tel-Aviv : plusieurs associations et organisations non gouvernementales (ONG), considérant que ces armes « pourraient servir à commettre un génocide, des crimes contre l'humanité, des crimes de guerre », ont engagé devant le Tribunal administratif de Paris trois procédures d’urgence exigeant que le gouvernement français renonce enfin à ce commerce mortifère.
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Diane Lataste