Bienveillant avec les néonazis d’aujourd’hui, compréhensif avec les SS d’hier, le leader de l’AfD Maximilian Krah est soupçonné d’avoir perçu des financements russes et chinois grâce à ses assistants parlementaires. Dont un Français passé par les franges les plus radicales du Rassemblement national.
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Diane Lataste