Interrogé mi-avril par la commission des droits de l’homme des Nations unies sur le respect des conventions et des chartes qu’il a signées, le petit émirat gazier s’est pris les pieds dans le tapis. Devant les experts interloqués, la délégation qatarie a assuré tout ignorer du sort d’un homme pourtant condamné à mort par les autorités de Doha : l’homme d’affaires franco-algérien Tayeb Benabderrahmane. Un grand moment de solitude diplomatique.
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Diane Lataste