Pour les durs du Rassemblement national (RN, ex-Front national) et les groupes les plus radicaux de l’extrême droite, la condamnation de Marine Le Pen à cinq ans d'inéligibilité avec exécution provisoire prouve que la stratégie de la « dédiabolisation » n'a servi à rien. Ils plaident pour un retour aux fondamentaux, avec un discours ouvertement anti-républicain et anti-démocratique.
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Margaux Simon