Le moins qui se puisse dire est que l’anthropologue réactionnaire Florence Bergeaud-Blackler n’a guère goûté que Blast rappelle quelques-unes de ses extravagances. Elle nous accuse notamment, et à l’unisson de nombreux commentateurs de droite et d’extrême droite, d’être « un organe de désinformation payé » par l’État, et de n’être donc ni « libres », ni « indépendants ». Mauvaise pioche : dans la vraie vie, ce sont les milliardaires dont les journaux et magazines assurent la promotion de cette chercheuse militante, qui engrangent l’essentiel des aides étatiques à la presse. Revue de détail.
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Blast, le souffle de l’info