"Le Covid, c’est une belle saloperie. Et pour ma part, je n’oublierai pas ce que j’ai vu en mars 2020. Les papas qui ne sont pas revenus chez eux. Les enfants que j’ai rassurés, la peur des familles, les sirènes qui s'enchaînaient dans ce Paris vide la nuit. Pour autant, il n’est pas question de continuer de porter atteinte à nos libertés fondamentales de façon autoritaire sous de faux prétextes sanitaires. La santé, la santé de mes patients et la santé de tous, c’est un de nos biens les plus précieux, mais nos libertés aussi. Il n’est aucune nécessité de sacrifier l’un pour l’autre."
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Blast, le souffle de l’info