Protégés derrière leur anonymat, les agents des services de renseignements produisent des « notes blanches ». Ces documents à usage sous-terrain colportent souvent des allégations douteuses ou infondées qu’elles amplifient. Pourtant, le ministère de l’Intérieur n’a aucun scrupule à les utiliser de plus en plus pour justifier, au nom de la lutte contre le terrorisme, des atteintes aux libertés individuelles. Révélations et état des lieux.
Crédits photo/illustration en haut de page :
Margaux Simon