Petits journaux d'informations locales ou engagés, se font régulièrement intimider, menacer voire agresser par des groupes d'extrême droite violents. Dans une quasi-indifférence générale. Peu connus nationalement, bénéficiant de peu de réseaux d'influence, ces médias se sentent peu soutenus par le reste de la presse et se trouvent démunis par ces pratiques de harcèlement systématiques. Dernier exemple en date, le journal breton le Poher dont le rédacteur en chef a été menacé de mort. Lui a réussi à médiatiser l'affaire, mais le plus souvent, ces événements graves restent méconnus.
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Adrien Colrat