Le manifeste de défense de la liberté de la presse face à l’extrême-droite provoque des remous à France Télévisions. Au siège parisien de France 3, les membres de la société des journalistes qui ont soutenu le texte subissent des représailles : selon les informations de Blast, cinq d’entre eux ont été sanctionnés ce matin et sont interdits de couvrir les législatives. La direction de l’information a notamment placé de fait un journaliste politique au chômage technique.
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Blast, le souffle de l’info Diane Lataste