Plan social, déprime des journalistes, ligne réactionnaire et complotiste, financement sulfureux, privatisation, arrivée d’un directeur de rédaction qui affiche ouvertement ses positions pro-Trump. Non, vous n’êtes pas chez Bolloré. Bienvenue sur Euronews, désormais aux mains d’un proche de l’autocrate Viktor Orbán. Premier épisode de notre enquête en deux volets sur le basculement d’une chaîne passée du rêve européen au cauchemar illibéral et fascisant.
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Margaux Simon